Traitement
des Termites

La façade Atlantique, avec son climat tempéré et ses nombreuses zones boisées, est une zone propice pour les termites. Les termites se nourrissent de la cellulose contenus dans les bois et les débris végétaux. Pyrénées Traitement propose de lutter contre les termites grâce au traitement par appâts Sentri Tech.

05 59 31 05 63

Entreprise
certifiée

Produits
professionnels

Au pays basque
depuis 1996

Lancée en France en 1997, la méthode Sentri Tech utilise un support cellulosique agissant sur les espèces de termites souterraines présentes en France métropolitaine (Reticulitermes sp.).

Pour une élimination durable des termites, Pyrénées Traitement installe des boîtiers Sentribox pour l’intérieur du bâti, ainsi que des stations SentriSol pour l’extérieur. Les pièges contiennent la matière active et sont placés à des points stratégiques pour former une barrière active 24h/24 et 7j/7 autour de votre maison.

Si vous souhaitez éliminer les termites, contactez Pyrénées Traitement.

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La carte de présence des termites par département

L’invasion des termites dans les départements français progresse. Les termites viennent des profondeurs de la Terre et sont présents dans nos habitats, ruraux et même urbains.

Ces insectes xylophages vivent en colonies organisées et ne poursuivent qu’un objectif : consommer la cellulose présente dans nos maisons, nos biens, nos arbres, notre patrimoine public…

Les termites sont maintenant présents en zone urbaine

Les termites envahissent peu à peu de nouveaux territoires, et notamment les zones urbaines. Le nombre de secteurs infestés augmente régulièrement. Les termites se déplacent, et plus de cinquante-quatre départements sont désormais recensés par leur présence. Paris et sa banlieue sont également concernés : arbres d’alignement, patrimoine historique, immeubles…

Plusieurs raisons peuvent expliquer cet exode. Tout d’abord, l’utilisation massive de bois tendre, à la fibre peu résistante, tel que le pin. Et surtout, les transports de matériaux de construction et de gravats d’une région à l’autre.

Les termites vivent à l’abri de la lumière

Ces insectes xylophages appartiennent à l’ordre des blattoptères. Les termites présents en France sont du genre des Reticulermes et ont un mode de vie souterrain. Le fait qu’ils ne supportent pas la lumière devient leur premier atout : ils nuisent à l’abri des regards !

Leur corps blanchâtre de 5 à 8 mm de long leur vaut parfois le surnom de « fourmis blanches ».

Dans nos maisons, les termites provoquent souvent des dégâts invisibles

Ces insectes ne se cantonnent plus à leur habitat forestier et ils s’attaquent aux arbres et aux maisons en toute discrétion pour causer de colossales dégradations sur votre maison.

Les termites progressent en France en émigrant vers le Nord et l’Est de la France, conquérant de nouveaux territoires avec un seul objectif : se nourrir de cellulose. Leur présence peut entraîner l’endommagement des zones rurales aux milieux urbains, des arbres d’alignement aux immeubles citadins, des bâtiments publics aux pavillons résidentiels. La particularité majeure des termites : leur discrétion.

Les termites sont difficiles à détecter

Ennemis invisibles, les termites progressent dans l’obscurité et causent des dégâts intérieurs qui sont difficilement détectables à l’extérieur. Par exemple, ils peuvent attaquer une plinthe et juste laisser la couche de peinture en surface. Ainsi, lorsque les termites sont découverts, il est souvent trop tard…

Les termites et leurs dégâts souvent invisibles

Oui, comme les termites provoquent souvent des dégâts invisibles, ils peuvent ainsi continuer leur travail à l’abri des regards… jusqu’à destruction complète : structures de la maison et équipements, y compris les matériaux qu’ils ne consomment pas, mais qu’ils traversent sans hésiter pour atteindre la cellulose. Ce n’est donc pas seulement le bois qu’ils endommagent, mais aussi le plâtre ou encore des gaines électriques ! Et tout ça à votre insu !

En toute logique, la lutte anti-termites doit donc se baser sur la prévention.

Les termites ont un mode vie très organisé

Insectes sociaux, les termites vivent en colonie au sein de laquelle chaque membre joue son rôle.

En effet, il existe différentes sortes de termites dans une même colonie. Commençons par les plus nombreux et les plus nuisibles pour l’homme et son environnement : les termites ouvriers.

Ils ont pour mission de nourrir leurs congénères. Rapides et voraces, ils prospectent en permanence pour trouver la cellulose présente dans le bois et le papier. Ils la consomment, la digèrent et la régurgitent pour alimenter par « trophallaxie » les autres membres de la colonie.

Les soldats, par exemple, aussi blancs que les ouvriers mais dotés de grosses têtes à menaçantes mandibules, leurs armes pour défendre la colonie de ses ennemis. Il existe également les couples reproducteurs. Ils se distinguent par leur couleur sombre : un mâle qui a perdu ses ailes et une femelle à l’abdomen hypertrophié, incapable de bouger et produisant plusieurs milliers d’œufs chaque année.

Les termites sont friands du bois et de ses dérivés

Entre janvier et avril, les termites sont de sortie à travers l’envol de reproducteurs ailés. Ces derniers formeront alors des couples au hasard et qui, au gré du même hasard, retomberont peut-être dans le lieu boisé idéal pour donner vie à une nouvelle colonie. C’est l’essaimage.

Mais il existe également des reproducteurs secondaires aux ailes à peine ébauchées appelés les « néoténiques». Ils apparaissent quand la population a atteint un niveau suffisant et sont à même de fonder une colonie sans mettre le nez dehors, par « bouturage ».

Un mode de reproduction souvent rendu possible lorsque de la terre ou des gravats sont déplacés. Et quand ils sont là, attention les dégâts. Ces envahisseurs sont friands de bois, mais aussi de tous ses dérivés. Rien ne résiste ainsi à leur boulimie, des livres aux cloisons en passant par les papiers peints. Pour se frayer un chemin vers la précieuse cellulose, ils traversent des matériaux comme le plâtre, le polystyrène, et même les gaines électriques.